Cachée dans les montagnes, nous découvrons Semuc Champey, un lieu encore préservé et peu touristique. Il faut dire qu’elle ne se situe pas sur les axes les plus fréquentés.

Cabane en bois perchée dans la montagne de Lanquin


Sur la route de Semuc






C’est l’heure de la trempette
Avec la chaleur et la vue obsessionnelle de ces lacs successifs au bleu turquoise , il est temps de préparer le maillot de bain.
Il existe des casiers (prévoir un cadenas), pour déposer ses affaires avant de profiter des piscines naturelles. Deux accès sont possibles, on vous conseille celui en aval de la rivière. L’eau est rafraîchissante, incroyablement claire et plutôt calme niveau monde. (Sauf l’abondance de petits poissons 🙂 )


Finalement, avant de rentrer, nous nous attardons à des petits stands typiques pour déjeuner. Au menu cuisse de poulet cuîte au BBQ, tortilla faite maison et salade de légumes avec vue sur les montagnes…
Pour le retour, nous avons décidé de rentrer à pied. Cela veut dire 11 km de route de terre qui monte et qui descend abruptement. La route est effectivement longue, mais nous rencontrons un tas de locaux. 2h30 plus tard nous voilà arrivés à notre hôtel, exténués, dégoulinants mais prêt pour profiter de la piscine


Depuis Coban, il existe des colectivos qui vous emmènerons jusqu’à Lanquin pour 25 Quetzals / personnes ( moins de 3 euros). Pour vous rendre à Semuc Champey, vous devez prendre un pickup qui coûte 25 Quetzals également.
L’entrée de la réserve de Semuc Champey nous a coûté 50 Quetzals par personnes (5 euros environs).